NdlR TGV en Albret - dossier de l'année 2014 , : non non, rien à changé , tout va continuer, hé hé .......
Prévisions de trafic démesurées, pression des élus locaux et de l’UE, arbitrages discutables de l’État… Dans un projet de rapport consulté par Contexte, la Cour des comptes fait l’inventaire des errances qui sapent l’avenir du TGV.
Comment le TGV a-t-il pu, en l’espace de deux décennies, passer du statut de fleuron national exhibant les trains les plus rapides du monde, à celui de boulet économique ? Dans un projet de rapport qu'elle s'apprête à dévoiler, la Cour des comptes dresse un bilan intraitable de la grande vitesse, victime de décisions politiques irrationnelles et d’estimations de rentabilité faussées.
Lire la suite : La Cour des comptes dénonce l’asphyxie du modèle français de la grande vitesse
07/12/2016 | Gilles Savary député de la Gironde, ne s'en est jamais caché, bien au contraire. Il n'est pas favorable à la poursuite de la LGV vers Toulouse et l'Espagne, et l'a encore montré ce mardi.
Après des discours et prises de position fortes concrétisés notamment par quelques participations à des réunions d'opposants au projet LGV GPSO, Gilles Savary Député de la Gironde et membre de l'Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France ( AFITF) persiste et signe. Ce 6 décembre, il a voté contre l'engagement des premiers financements d'Etat sur le projet LGV GPSO Bordeaux-Toulouse, et Bordeaux-Dax. Des financements dédiés à des études et premiers achats de fonciers, s'élevant à 45 M€. Son argument premier : l'arbitrage financier à faire en faveur des trains du quotidien et de la régénération des lignes existantes plutôt que pour la LGV dont le montant global du projet est évalué à 9Mds €.
« Un gaspillage de fonds publics injustifiable »
Lire la suite : LGV GPSO : Gilles Savary vote contre l'engagement financier de l'Etat dans le projet
Piloté par le géant du BTP Vinci, le groupement Cosea a été condamné par la justice pour les dommages écologiques causés par le chantier de la nouvelle ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux. Un expert décrit « un massacre environnemental ».
[A lire sur Mediapart.fr] La SNCF présentait ce mercredi son nouveau TGV Océane qui va parcourir Paris-Bordeaux dès dimanche en 3h10, puis en 2h04 à partir de juillet 2017. Le même jour, le site Mediapart publiait une enquête accablante sur la construction de la LGV entre Tours et Bordeaux.
La journaliste Jade Lindgaard y remonte les kilomètres du dit « chantier du siècle » et constate toutes les dégradations causées. Le mastodonte du BTP Vinci, aux manettes via son groupement Cosea, vient d’être condamné par la justice pour ces dommages écologiques.
Si des engagements sur la protection de l’environnement avaient été pris, au minima pour compenser les dégâts, les amendes prononcées en cas d’entorse à ceux-ci sont dérisoires en regard des budgets titanesques.
A lire sur mediapart.fr (pour les abonnés)
Par La rédaction de TF1info Publié le 18 octobre 2014 à 18h22, mis à jour le 23 juillet 2024
TGV - Les sages de la rue Cambon pointent la faible rentabilité de certaines lignes à grande vitesse et la responsabilité de l'Etat.
Lignes non rentables, objectifs trop optimistes et très éloignés des résultats, annonces faites avant même la fin des phases de test... Les griefs de la Cour des comptes à l'encontre de la gestion du réseau des trains à grande vitesse (TGV) sont nombreuses. Selon un rapport cité par le journal spécialisé Contexte, six liaisons à grande vitesse n'atteignent pas les objectifs de rentabilité annoncés
La ligne LGV Nord atteindrait une rentabilité de 3%, contre 12,9% initialement envisagés, et la LGV Méditerranée 4,1%, soit deux fois moins que prévu,selon Contexte, spécialisé dans les "politiques publiques françaises et européennes".
Lire la suite : La gestion du TGV critiquée par la Cour des comptes
Le coprésident du groupe national de surveillance des arbres est venu accrocher des pancartes anti-LGV dans le platane bicentenaire de la mairie de Bernos-Beaulac.© Crédit photo : A. D.
Les associations et les élus opposés au projet de LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ont demandé lors d’une réunion publique à Bernos-Beaulac une prolongation de l’enquête publique environnementale sur les AFSB, ce tronçon stratégique qui fait le lien entre les anciennes et les nouvelles lignes
Les opposants au projet de nouvelles lignes à grande vitesse au sud de Bordeaux multiplient les actions. Plusieurs réunions d’information ont été organisées à Saint-Médard-d’Eyrans, Bègles et Bernos-Beaulac. La dernière a réuni près de 200 personnes le 11 juillet dans la salle municipale de Bernos-Beaulac, village sud-girondin situé dans le nœud ferroviaire de la future LGV.
Des pancartes ont été accrochées dans le platane bicentenaire de la mairie par un membre duGroupe national de surveillance des arbres.« Nous n’attendrons pas que les pelleteuses soient dans la vallée du Ciron pour réagir », prévient Pauline Dupouy, une des coordinatricesde la plateforme LGV Non merci. Les militants anti-vitesse sont mobilisés en raison dulancement de l’enquête publique environnementale sur les AFSB, le 15 juillet. Les aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux sont stratégiques, ils font le lien entre les voies existantes et les futures. Une troisième voie doit être construite sur 12 kilomètres à Bègles, Villenave-d’Ornon, Cadaujac et Saint-Médard-d’Eyrans.
Les associations et collectifs opposés aux lignes à grande vitesse Bordeaux-Toulouse-Dax se sont réunis le 11 juillet à Bernos-Beaulac.
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