Vous êtes ici : Accueil

TGV en Albret

La LGV n’est pas morte, elle bouge encore…

18 décembre 2016 - ace.hendaye - Cade

09/12/16, 160 personnes étaient présentes à la réunion publique de Mouguerre (photo ACE)

09/12/16, 160 personnes étaient présentes à la réunion publique de Mouguerre (photo ACE)

Après l’avis défavorable donné par la commission d’enquête publique en mars 2015, certains pouvaient penser qu’un coup d’arrêt définitif avait été donné au projet de lignes à grande vitesse (LGV) entre Bordeaux-Toulouse et Dax.

Ce serait mal connaître nos décideurs. Ce serait aussi mal connaître leur mauvaise foi et leur obstination.

 

Un sursis Ce n’est pas un avis considéré « dans l’air du temps » par Alain Vidalies, secrétaire d’Etat aux transports et Alain Rousset, président de la région Nouvelle Aquitaine qui aurait pu entraver la marche d’un rouleau compresseur. Il en fallait bien plus !

 

Le 2 juin, par décret, le Premier Ministre déclare « d’utilité publique et urgents les travaux » nécessaires à la réalisation de ces lignes ferroviaires. Dès lors, les études complémentaires et les acquisitions foncières par expropriation peuvent se faire en toute légalité.

 

Interrogé par Sud-Ouest, Alain Vidalies justifie ainsi cette décision : « l’avis de l’enquête publique n'était que consultatif. Et nous avons eu un avis favorable du Conseil d'État. » Un avis jamais rendu public.

Lire la suite : La LGV n’est pas morte, elle bouge encore…

 

Vianne 18 juin Réunion Publique

11 juin 2024- StopLGV47/LGVnonmerci/TgvenAlbret

Venez nombreux !!!

Vianne 16 juni 2024

 

Pour ou contre la LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ? « La population doit trancher pour clore ce débat interminable »

2 juin 2024 -Sud Ouest

Pour ou contre la LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ? « La population doit trancher pour clore ce débat interminable »

De gauche à droite : les députés Loïc Prud’homme, Sophie Mette, Nicolas Thierry et la maire de Saint-Selve Nathalie Burtin-Dauzan.© Crédit photo : A. D.

Un groupe d’élus anti-LGV de tous bords politiques demande au préfet d’organiser une consultation citoyenne à l’échelle des deux régions. « Ce projet ne doit pas passer en force pour éviter l’escalade de la violence », préviennent-ils

 

Un groupe d’élus anti-LGV de Gironde a tenu une conférence de presse vendredi 31 mai à Saint-Médard-d’Eyrans, commune symbolique du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). Le village sud-girondin fait le trait d’union entre les AFSB (aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux) et la LGV (ligne à grande vitesse) Bordeaux-Toulouse-Dax. Autour de la table, des maires et des parlementaires de tous bords.

Un groupe d’élus anti-LGV de Gironde a tenu une conférence de presse vendredi 31 mai à Saint-Médard-d’Eyrans.

Un groupe d’élus anti-LGV de Gironde a tenu une conférence de presse vendredi 31 mai à Saint-Médard-d’Eyrans.

Lire la suite : Pour ou contre la LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ? « La population doit trancher pour clore ce débat interminable »

   

Site naturel protégé : "massacre environnemental " à Montlouis ?

18 décembre 2016 - La Nouvelle République

NdlR Pour la LGV SEA, Tours-Bordeaux, qui sera inaugurée en juillet prochain, les révélations du saccage environnemental s’accumulent !

Les défenseurs de l'environnement dénoncent un chantier dévastateur, mené sans informations préalables. - Les défenseurs de l'environnement dénoncent un chantier dévastateur, mené sans informations préalables. - (Photo NR, Hugues Le Guellec)

Les défenseurs de l'environnement dénoncent un chantier dévastateur, mené sans informations préalables. - (Photo NR, Hugues Le Guellec) 

Aux côtés de l'association locale « Changeons d'Ère », la Sepant dénonce actuellement un autre « massacre environnemental » ; cette fois du côté de Montlouis. Ces dernières semaines, des bulldozers ont investi l'île de Bondésir pour déboiser de façon très spectaculaire ce site naturel protégé, classé Natura 2000.

Lire la suite : Site naturel protégé : "massacre environnemental " à Montlouis ?

 

"La LGV Bordeaux-Toulouse-Dax, un sondage façon Poutine ?"

30 mai 2024 - L'air du Sud

TRIBUNE LIBRE - Le vice-président du Collectif des associations de défense de l’environnement du Pays Basque et du sud des Landes estime que les citoyens ne sont pas suffisamment informés lors des sondages d’opinion sur le Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest.

Le sondage Odoxa commandé par SNCF Réseau est annoncé comme un véritable plébiscite pour les deux premières étapes du Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO).
On apprend ainsi que le projet serait “positif pour l’environnement parce qu’il permettra de limiter les trajets en voiture et en avion pour favoriser ceux en train, et évitera les flux de camions sur les routes. Il fera gagner du temps aux habitants sur leurs trajets du quotidien et rapprochera les villes du Sud-Ouest du reste du pays et de l’Espagne. Il aura un impact économique majeur en favorisant les échanges entre la France et l’Espagne, améliorant l’accès à l’emploi pour les habitants et attirant les entreprises dans ces territoires”. Cette ligne pourrait avoir un impact positif sur le tourisme.
Quelles informations ont été données aux sondés ? Le projet est “décrit très sommairement et objectivement”, répond Odoxa sans plus de précisions. Les personnes interrogées ont-elles été informées du coût de l’infrastructure : 14 milliards d’euros soit 37,3 millions d’euros le kilomètre et 186,5 millions d’euros pour gagner une minute ? Des retombées sur les finances des collectivités locales qui s’endettent pendant 40 ans pour financer 40% du projet ?Avant d’affirmer que le GPSO sera “positif pour l’environnement”, leur a-t-on décrit le saccage programmé de Bordeaux à Toulouse et à l’Espagne ? Une emprise de 6300 hectares dont 1500 hectares de terres agricoles, 3300 hectares de forêts, 370 hectares de zones humi-des, 90 plans d’eau. Des compensations très élevées estimées de 1000 à 1750 hectares. Autant pour la seule section Dax-Espagne. Un enjeu majeur sur l’eau sur l’intégralité du GPSO : 790 ouvrages de franchissement de cours d’eau et zones humides : 315 viaducs et ponts cadres, 120 bassins d’écrêtement. Un fuseau traversant de nombreux milieux aquatiques : système hydrographique des grands cours d’eau, marais, eaux souterraines, périmètres de captage des nappes aquifères. Des données qui font réfléchir…Le sondeur ne donne aucun gain de temps entre Bordeaux et Dax. Il serait de 20 minutes avec un temps de trajet actuel de 1h20 alors qu’il était de 1h04 en 2006 (débat public). Étrange que le temps de trajet soit plus important aujourd’hui alors que la ligne actuelle a été réaménagée ! Il se garde bien de dire qu’il serait nul avec une ligne actuelle rénovée.On demande benoîtement “si un tel projet réduira le flux des camions sur les routes”, alors que la construction de 2700 kilomètres de LGV en France n’a pas permis d’enrayer le phénoménal déclin du fret ferroviaire. Comme le souligne Yves Crozet, éminent spécialiste des transports à propos des LGV : “Si cela suffisait à dynamiser le fret ferroviaire, cela se saurait”.
De la même façon, on leur demande s’ils pensent que le projet “attirera des entreprises pour développer l’économie des territoires concernés”, alors que cela ne repose sur aucun fondement scientifique comme l’ont démontré les experts (Delaplace, Bazin, Offner, Klein, Fachinetti). Ainsi Yves Crozet rappelle : “Plus que de la création d’activités nouvelles, on assiste à de la relocalisation d’activités existantes”.
Quant à l’impact sur le tourisme, toutes les études concluent : “La liaison entre desserte TGV et développement du tourisme doit être relativisée”. Mais qui en informe nos concitoyens ?Ne pas informer objectivement les citoyens avant de solliciter leur avis sur un sujet, c’est les priver de toute réflexion critique avant de recueillir leur avis. En agissant de la sorte, le sondage produit l’opinion plus qu’il ne la mesure. De tels procédés bafouent nos démocraties car ils sont utilisés par les autocrates comme Poutine.
Déjà en 2010, Réseau ferré de France (RFF) avait fait appel à l’Ifop pour réaliser un sondage similaire. RFF claironnait alors : 89% des Aquitains sont favorables au GPSO. Sur les 809 personnes interrogées, 600 (64% des sondés) déclaraient ne pas connaître le dossier, voire même la problématique générale. Sur les 209 personnes restantes, 45%, déclarant connaître le GPSO, pensaient qu’il s’agit de moderniser les lignes existantes et 36% étaient persuadés qu’il s’agit d’améliorer le réseau ferroviaire sur certaines zones peu ou mal desservies ! Malgré ces réserves l’Ifop et RFF affirmaient que neuf Aquitains sur dix plébiscitaient le GPSO. Des résultats en totale contradiction avec les nombreux sondages ponctuels réalisés par le quotidien Sud Ouest sur le même sujet.
Messieurs les promoteurs du projet GPSO, acceptez les règles d’un débat démocratique en délivrant vos arguments mais en acceptant aussi de faire figurer ceux des opposants. Alors les citoyens pourront user de leur esprit critique et donner librement leur opinion en toute connaissance de cause. Vous préférez vous livrer à ce type de mascarades, c’est votre choix. Il ne vous grandit pas. Messieurs les promoteurs du projet, acceptez le jeu."

https://www.mediabask.eus/eu/info_mbsk/20240420/la-lgv-bordeaux-toulouse-dax-un-sondage-facon-poutine?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2fONIJblCpACu12P2BO8F0AHEwWELZevZXlSfI0_ac5lKjVOph5iw9clk_aem_ZmFrZWR1bW15MTZieXRlcw

Petrus Valdus

   

Page 4 sur 222

«DébutPrécédent12345678910SuivantFin»

Dernières nouvelles




La Cour des comptes dénonce l’asphyxie du modèle français de la grande vitesse


La gestion du TGV critiquée par la Cour des comptes


LGV au sud de Bordeaux : les opposants restent mobilisés au cœur de l’été


La LGV GPSO toujours au coeur des préoccupations


Nouvelle don ferroviaire pour Bordeaux-Dax


LGV Bordeaux – Toulouse : un chantier bloqué par des opposants


Ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse-Dax : le collectif d’opposants demande la prolongation d’une enquête publique


LGV en Gironde : une poignée de riverains devraient se voir indemnisés pour les nuisances sonores et visuelles


L’association « TGV en Albret » - Très Grande Vigilance en Albret - et le collectif Stoplgv47 ont rassemblé plus de cinquante personnes lors de la réunion publique du mardi 18 juin à Vianne.


L'enquête publique reportée pour la troisième voie ferrée au sud de Bordeaux


LGV Bordeaux-Toulouse-Dax : l’enquête publique sur les aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux reportée


Cadaujac : une réunion tendue au sujet de la LGV Bordeaux-Toulouse


Vianne 18 juin Réunion Publique


Pour ou contre la LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ? « La population doit trancher pour clore ce débat interminable »


"La LGV Bordeaux-Toulouse-Dax, un sondage façon Poutine ?"


LGV en Lot-et-Garonne : « Si tu mets un âne à Toulouse et que tu lui dis d’aller à Paris, il ne passera pas par Bordeaux »


Castelmoron-sur-Lot : « Ici, on paiera la taxe LGV pendant 40 ans ! »


Ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse : c’est l’Europe qui arbitrera


Lot-et-Garonne : nouveau week-end de mobilisation pour les anti-LGV


Sarabande : convoi du Lot et Garonne contre les LGV du Sud-Ouest
Copyright © 2009 Association Très Grande Vigilance en Albret - Réalisation Bulle Communication.