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Sitôt le conseil terminé, la maire a engagé la procédure de demande de subventions pour le projet de centre de santé.© Crédit photo : Georges Longueville
NdlR TGV Albret : article partiel
Les élus ont ensuite décidé de voter une motion demandant l’abandon du projet de nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse au profit de la rénovation de la ligne existante, arguant des effets négatifs généraux : projet onéreux, imputation financière considérable pour les collectivités territoriales, création de taxes spéciales « Impôts LGV », enquête publique défavorable sur 15 500 contributions citoyennes, gain de temps trop minime (20 minutes entre les deux capitales régionales). La motion est complétée par l’énumération des nombreux impacts locaux, à court et long terme.......
Le TGV du futur selon Alstom. "Les passagers demandent du confort et de la régularité".
Alstom
Guillaume Pepy a présenté devant l'Assemblée nationale le TGV du futur, qui doit être mis en service en 2018. "Le cahier des charges a fondamentalement changé", a annoncé le président de la SNCF. Et pour cause, les TGV qui circulent actuellement rapportent de moins en moins à la SNCF et lui coûtent de plus en plus cher en péages à RFF. Le nouveau TGV, a expliqué Guillaume Pepy, sera 30% moins cher que son prédécesseur, avec plus de places par rames, "sans diminuer le confort du voyageur". Dans l'objectif de proposer aux clients de la SNCF des prix plus bas, alors que le covoiturage et le low-cost aérien ont vidé les voitures. Cela sera-t-il suffisant pour assurer un modèle économique au TGV? Marc Fressoz, auteur de Faillite à Grande Vitesse (Le Cherche Midi, 2011), répond aux questions de Lexpansion.com.
Pourquoi le TGV n'est plus intéressant pour la SNCF?
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Le Père Noël a fait une pause dans sa préparation des cadeaux et est venu offrir une brouette et du ciment au maire d’Agen.© Crédit photo : Loïc Déquier
« Puisque Jean Dionis a l’air d’aimer le tout bitume et les grandes infrastructures, on lui fait cadeau pour Noël d’une brouette, d’un sac de ciment, d’une pelle et d’un râteau pour qu’il puisse faire mumuse. » La phrase est signée Charles D’Huyvetter. La figure des anti-LGV en Lot-et-Garonne, président de l’association Très grande vigilance en Albret était présente, ce mercredi 15 décembre, devant la mairie d’Agen pour mener une action symbolique, à la veille du vote d’adhésion au plan de financement de la LGV proposé aux conseillers communautaires de l’Agglomération d’Agen. « Il faut que les Agenais sachent qu’on va les ponctionner de 18 millions d’euros, qui ne seront pas destinés au territoire. »
L’argument des anti reste toujours le même : non à la nouvelle ligne LGV, oui à la modernisation des voies. « M. Dionis et les élus qui sont favorables à ce projet, ne tiennent pas compte des avis de l’enquête publique, dont un grand nombre (15 500) s’opposent à la LGV. On nous répond que cette enquête n’est que consultative. On nous méprise », regrette Catherine Amie, vice-présidente de TGV en Albret. Et de promettre, « si cela continue », que « les prochaines actions seront beaucoup plus virulentes ».
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= distribué aux Elu(e)s Régionaux d'Aquitaine .
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