Une première balade naturaliste et technique a eu lieu le 4 février dernier.© Crédit photo : Collectif LGV-Nina
Les opposants au projet de LGV entre Bordeaux et Toulouse ainsi que Bordeaux et Dax continuent de se mobiliser. Après une première sortie naturaliste et technique à Préchac, le 4 février dernier, le collectif Nina, pour Ni ici, ni ailleurs, organise une nouvelle promenade sur le tracé des lignes ferroviaires à grande vitesse. Le rendez-vous est donné à la Halte nautique de Bernos-Beaulac à 13 h 30, dimanche 19 février.
Cette boucle de 3,5 km dans le triangle ferroviaire prévu sur le secteur de Bernos-Beaulac, au bord du Ciron, emmènera les participants sous le viaduc de l’autoroute Langon-Pau. Plusieurs intervenants seront présents, dont des naturalistes d’Adryades et Thomas Brail, le fondateur du Groupe national de surveillance des arbres. L’objectif de ses sorties selon le collectif est de montrer « l’impact que pourrait avoir ce chantier ».
Le lien vers l'article de SO relatant cette réunion :
http://www.sudouest.fr/2014/12/03/dialogue-de-sourds-1755833-2780.php
L’enquête publique se termine le 8 décembre sur fond de vives oppositions locales et d’atermoiements de l’État.
Lire la suite : LGV : le front du refus gagné par l’espérance
2 – MEDIA Reporterre – Dans le Sud-Ouest, écolos et chasseurs disent non aux lignes TGV
(photo Adryades) Sud Gironde: Les opposants à la ligne à grande vitesse du Sud-Ouest ont organisé le 4 février une balade naturaliste sur le tracé prévu. Le but : porter la lumière sur les écosystèmes que le chantier détruirait. LIRE SUR LE LIEN
3 – PRESSE Le Figaro – «Qu’ils se débrouillent pour le payer»: en Nouvelle-Aquitaine, fronde contre l’impôt pour le futur TGV Bordeaux-Toulouse
Une «fronde contre l’impôt» gagne actuellement 67 communes de Charente-Maritime et 14 autres en Charente. Leurs habitants et entreprises devront, dès 2023, s’acquitter de la nouvelle taxe spéciale d’équipement (TSE) censée financer la construction de la ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse, l’une des composantes du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). Leur tort? Résider, en théorie et selon l’État, dans l’une des 2 340 communes de Nouvelle-Aquitaine situées à moins d’une heure d’une gare desservie par la future LGV.
«Absurde», rétorquent à l’unisson les élus qui ne s’imaginaient pas si proches de la gare Saint-Jean de Bordeaux. Réunis ces derniers jours à Jonzac (Charente-Maritime), ils ont «unanimement» adopté une motion commune réclamant «le retrait immédiat» de cette TSE. «S’ils veulent ce train, qu’ils se débrouillent pour le payer», résume Claude Belot, sénateur honoraire et président de la communauté de communes (CdC) de la Haute Saintonge…
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