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TGV en Albret

Lot-et-Garonne : les zadistes font de la résistance

15 décembre 2014 - Sud Ouest

 NdlR: TGV Albret : Soutenons Joseph Bonotto .

Commentaire d'un lecteur : Pourquoi ?

Commentaire :Bistodenas
 
La question qu'il faut se poser c'est avons nous besoin encore d'une nouvelle zone industrielle autour d'Agen alors que les zones existantes sont soit vides comme à Layrac (sauf occupation par les gens du voyage) soit abandonnées et en fiche à 80% comme à Boé et Bon encontre / Castelculier, Etc... C'est non ! Il n'y a pas de demande de création d'usines avec des emplois, juste des entrepôts pour stocker des produits d'importation. Laissons les terres cultivables aux agriculteurs pas aux bétonneurs avec de l'argent public.
 
zadiste ste colombe bonotto

© PHOTO 

PHOTO THIERRY SUIRE

Les compétences de chacun sont mises à contribution au service du collectif : hier, il s’agissait de construire un nouveau tipi, un des hébergements des zadistes sur place.
© PHOTO PHOTO THIERRY SUIRE
Les traits de la vingtaine de personnes sont à peine tirés et l'enthousiasme des prémices de ce nouveau combat n'est pas encore retombé.

Si l'agitation et la curiosité suscitées par cette entreprise ont attiré durant quelques heures, samedi, personnalités politiques, associatifs et militants venant de loin, eux restent « pour résister sur la zone à défendre (ZAD) ». Une résistance qu'ils comptent bien inscrire dans la durée, faisant taire les mauvaises langues misant sur les rigueurs hivernales pour accélérer leur départ. Après avoir monté un premier tipi samedi matin, un deuxième était en construction hier, dans la joie et la bonne humeur, promouvant haut et fort les vertus du travail collectif.

Propositions refusées

 

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Transports : « Collectivités et contribuables locaux seront piégés dans le financement d’infrastructures démesurées qui devrait être du ressort de l’Etat »

26 avril 2023 - Le Monde du 25 mars 2023 

L’économiste Marc Ivaldi et l’ancien élu socialiste Gilles Savary démontrent, dans une tribune au « Monde », que les sociétés de projet mises en place pour construire les nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse ont pour but de récolter les taxes locales et n’auront aucun pouvoir sur la maîtrise de leur construction et de leur exploitation.

Lors de sa conférence de presse à l’occasion de la remise du rapport du Conseil d’orientation des infrastructures, le 24 février, Elisabeth Borne a annoncé que la Société du Grand Paris (SGP) serait mobilisée pour la réalisation d’une douzaine de RER métropolitains.

Cette annonce, passée quasiment inaperçue, vise à banaliser le modèle innovant de financement et de maîtrise d’ouvrage choisi pour la conduite du plus grand chantier européen d’infrastructure en cours : les 200 kilomètres de métro automatique du Grand Paris Express. Qu’en est-il vraiment ?

Le modèle SGP consiste à externaliser la maîtrise d’ouvrage d’une grande infrastructure à un établissement public ad hoc (appelé « société de projet ») doté d’une fiscalité propre qui lui permet de se refinancer sur les marchés financiers au rythme de sa construction, sans subir les aléas politiques et le carcan de l’annualité budgétaire.

Pour la construction du Grand Paris Express, la SGP assure ainsi le plein exercice de la maîtrise d’ouvrage publique et de la conduite des travaux (elle procède aux acquisitions foncières nécessaires, maîtrise ses approvisionnements, négocie avec les collectivités locales et les opérateurs fonciers, établit ses plans et programmes de travaux, réceptionne les ouvrages).

Arbitraire et injustice

Elle est dotée d’une ressource fiscale spécifique consistant en une taxe sur l’immobilier de bureaux et une taxe additionnelle à la taxe d’équipement prélevées en Ile-de-France, d’un rendement de plus de 600 millions d’euros annuels, qui lui permet de souscrire des emprunts sur les marchés financiers pour mener à bien sans anicroche un chantier géant de 35 milliards d’euros d’investissements étalé sur plus de quinze ans.

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Question et une réponse ( de JLM Matéos) et.. une réaction...

13 décembre 2014 

J’avais envoyé la vidéo  (“ les nuisances ...”  ) à tous les politiques  pro LGV dont j’avais les mails et voici une  réponse !

Jeanine Besacchi et Michel Normand (membres de TGV Albret)

 Objet : LGV

Et si une LGV passait chez vous ou chez vos enfants ou petits enfants ?....

Réponse de Jean Louis Matéos

Ligne à Grande Vitesse

Lorsque le projet de construction d’une Ligne à Grande Vitesse reliant Bordeaux à Toulouse a été mis sur la table, j’y ai été spontanément favorable. En effet, j’ai immédiatement pensé à notre jeunesse et aux générations futures qui auront besoin d’être mobiles pour s’insérer plus facilement sur le marché du travail. De la même manière, le développement économique et touristique de notre département nécessite que le Lot-et-Garonne soit parfaitement raccordé aux métropoles de Bordeaux et Toulouse d’une part et au reste de la France d’autre part. Cette analyse est incontestable, mais aujourd’hui, il faut être réalistes et tenir compte du contexte. Le rapport de la Cour des Comptes rendu public en octobre dernier, pointe du doigt l’ « asphyxie du modèle français de la grande vitesse ». En clair, toutes les études montrent que l’on a surestimé la rentabilité des lignes LGV et en tant qu’élu responsable je dois en tirer tous les enseignements. Par ailleurs, le rapport « gain de temps/coût financier » d’une LGV est parfaitement déraisonnable en période de pénurie d’argent public. Quand je pense à l’avenir de nos enfants, je refuse de faire porter sur leurs épaules les dettes que nous pourrions aujourd’hui contracter. C’est pourquoi, si notre Collectivité était appelée à se prononcer sur l’opportunité de la LGV, j’y réfléchirai à deux fois. JLM

 

Réaction de Pierre :

Je note dans la réponse de JLM Matéos, par ailleurs président du SMAD (syndicat mixte pour un aerodrome départemental), autre gouffre à subventions publics, cette remarque qui me laisse pantois : "cette analyse est indiscutable".

> Et que dire de celle-ci, que je mets en balance : "un développement infini dans un monde fini est une contradiction dans les termes", on appelle çà un oxymore si on veut faire savant.

> bref, les religions ont peut-être perdues des fidèles, mais la foi dans le progrès elle a toujours ses fanatiques.

> Le souci est que ce sont eux qui ont pris tous les pouvoirs, et nous mènent toujours plus vite contre le mur.

> Nous vivons une époque moderne

> pk

   

Bernos-Beaulac : des habitants favorables à une ZAD contre la LGV

26 avril 2023 - France Bleue

La colère gronde sur le tracé de la future LGV en Sud-Gironde. Les élus du territoire sont unanimes contre le projet ferroviaire. S'ils n'obtiennent pas satisfaction une partie des habitants pourraient choisir un mode d'action plus radical. On évoque une ZAD à Bernos-Beaulac.

Dans la forêt de Bernos Beaulac

Dans la forêt de Bernos Beaulac© Radio FrancePaul Sertillanges

 Une délégation d'élus du Sud-Gironde seront reçus en préfecture ce mercredi après-midi à Bordeaux. Leurs communes sont traversées par le projet de la LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax. Le préfet est censé faire un point sur le dossier mais il va se heurter à l'opposition des maires qui ont tous dit non à la LGV.

Dans les communes concernées la colère gronde. Le 29 février dernier une manifestation a rassemblé 250 personnes à Bernos-Beaulac derrière un cortège d'écharpes tricolores.

Pour l'instant ce sont les élus qui mènent la bataille contre le rail mais certains habitants pourraient choisir de radicaliser le mouvement. On évoque ici ou là la possibilité d'une ZAD, comme ce fut le cas à Notre-Dame-des-Landes contre la construction d'un aéroport.

La maire de Bernos-Beaulac, Jacqueline Lartigue Renouil craint un soulèvement d'une partie de ses administrés.

On m'a déjà promis une ZAD sur la commune. A un moment ça peut exploser. Quelqu'un m'a dit : "t'inquiète pas, on va faire parler la poudre."

 

 

 

Raymond Girardi: LGV ? Pour lui c'est Non

13 décembre  2014 Le petit Bleu

Girardi le petit bleu

 

   

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