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TGV en Albret

Feugarolles : motion contre la LGV

11 décembre 2014 

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Dans la presse ( merci CADE)

11 février 2023 - Reporterre et Figaro

2 – MEDIA Reporterre – Dans le Sud-Ouest, écolos et chasseurs disent non aux lignes TGV

(photo Adryades) Sud Gironde: Les opposants à la ligne à grande vitesse du Sud-Ouest ont organisé le 4 février une balade naturaliste sur le tracé prévu. Le but : porter la lumière sur les écosystèmes que le chantier détruirait. LIRE SUR LE LIEN

3 – PRESSE Le Figaro – «Qu’ils se débrouillent pour le payer»: en Nouvelle-Aquitaine, fronde contre l’impôt pour le futur TGV Bordeaux-Toulouse

Une «fronde contre l’impôt» gagne actuellement 67 communes de Charente-Maritime et 14 autres en Charente. Leurs habitants et entreprises devront, dès 2023, s’acquitter de la nouvelle taxe spéciale d’équipement (TSE) censée financer la construction de la ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse, l’une des composantes du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). Leur tort? Résider, en théorie et selon l’État, dans l’une des 2 340 communes de Nouvelle-Aquitaine situées à moins d’une heure d’une gare desservie par la future LGV.

«Absurde», rétorquent à l’unisson les élus qui ne s’imaginaient pas si proches de la gare Saint-Jean de Bordeaux. Réunis ces derniers jours à Jonzac (Charente-Maritime), ils ont «unanimement» adopté une motion commune réclamant «le retrait immédiat» de cette TSE. «S’ils veulent ce train, qu’ils se débrouillent pour le payer», résume Claude Belot, sénateur honoraire et président de la communauté de communes (CdC) de la Haute Saintonge…

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L’Etat investit à l’aveugle et creuse la dette publique

11 décembre 2014 - La Libération (du 8 déc)

ETIENNE TÊTE CONSEILLER RÉGIONAL RHÔNE-ALPES ET RAPHAËL ROMI PROFESSEUR AGRÉGÉ DE DROIT.

  • L’endettement de la France est sans précédent. Il approche les 2000 milliards d’euros, et presque 100% du produit intérieur brut (PIB).

Si les gouvernements hésitent sur une politique d’investissements plus ou moins intense, il y a cependant un consensus pour exprimer que l’argent est rare et que les investissements doivent être sélectionnés de manière précise.

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Gilles ­Savary : « Les métropoles instaurent un apartheid territorial »

10 février 2023 - La Gazette des Communes 

Pour lire l'article entier : cliquez https://www.lagazettedescommunes.com/849553/gilles-%C2%ADsavary-les-metropoles-instaurent-un-apartheid-territorial/

Extrait de l'article : 

 

....SAVARY-Gilles1

..Les collectivités peuvent-elles à la fois financer les RER métropolitains et les lignes à grande vitesse ?

L’Etat incite la SNCF à se payer sur la bête régionale avec la LGV de ­Bordeaux à Toulouse et Dax ou de ­Montpellier vers ­Perpignan. Les collectivités font partie de sociétés ad hoc. Durant quarante ans, elles vont payer les dépassements, voire, à terme, assurer la ­maintenance.

Pour les premières LGV vers Lyon et Le Mans, les contribuables locaux n’ont pas participé. Là, les populations rurales qui se trouvent à moins d’une heure d’une gare vont devoir acquitter un impôt. Alors même qu’elles prendront très peu le TGV…

Pendant ce temps-là, les collecti­vités franciliennes refusent de financer des lignes qui arrivent chez elles. Les LGV sont le dernier spasme de l’impérialisme parisien. Elles ne représentent que 400 000 voyageurs par jour. Le prolongement à partir de ­Bordeaux jusqu’à ­Toulouse et Dax, c’est l’équivalent de 35 euros d’argent public par voyageur pendant cinquante ans.

Parallèlement, les liaisons d’aménagement du territoire périclitent, comme à Clermont-Ferrand. A ­Limoges, le groupe Legrand menace de partir.

Plutôt que de faire des prolongements TGV de ­Bordeaux vers ­Toulouse, il aurait mieux valu créer une « ligne nouvelle » Paris-Orléans-Limoges-Toulouse. C’est-à-dire mettre des trains qui roulent moins vite que les TGV, à 280 kilomètres par heure, mais beaucoup moins coûteux. C’est la bonne solution aussi entre Marseille et Nice et entre Paris et la Normandie où les liaisons sont dans un état déplorable........

 

Financement des infrastructures : la grande misère?

11 décembre 2014 - Mobilicities

Lire l'article

accompagné avec les commentaires de Jean Pierre Pédestan et Claude Semin ( ci-dessous)

Financement des infrastructures : la grande misère?
 Alors que l'association TDIE consacre un colloque sur le financement des infrastructures ce 9 décembre 2014, la question des moyens de l'Agence de financement des infrastructures de transports de France est centrale. En effet, l'AFITF disposera, en réalité, d'un budget stable en 2015 de 1,9 milliard d'euros et non de 2,24 milliards. En clair, ce montant ne permet pas à l'Etat de tenir le scénario 2 retenu en 2013 à l'issue des travaux de la commission mobilité 21. Du coup, certaines lignes à grande vitesse vont-elles à nouveau être décalées ?  

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