Rassemblement ce samedi 27 janvier en gare de Limoges. © Christophe Péan
Aucune tendance politique n'a manqué à l'appel, ce 27 janvier, en gare des Bénédictins à Limoges. Élus, mais aussi chefs d'entreprise, cheminots et usagers ont dit une nouvelle fois leur exaspération face aux dysfonctionnements et aux incessants retards de la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (POLT). Ironie du sort : au même moment, le train en provenance de Paris-Austerlitz affichait 1 h 40 de retard pour « défaillance de matériel »...
Bloquées six heures en rase campagne
Vendredi 16 février à 18h30 à l’Amicale Laïque à La Réole : Grande réunion publique sur le projet deLGVBordeaux-Toulouse + Bordeaux-Dax. Informations / Débats / Mobilisation festive. Les travaux ont commencé… Nous sommesTOU.TE.SCONCERNÉ.E.S !
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Pas besoin d’être sur le tracé pour subir les dégâts de ce projet pharaonique et ruineux…
VENEZ NOMBREUXvous informer et en discuter le 16 février à La Réole !
Lire la suite : Réunion publique – LGV du sud-ouest – Toustes concerné.es
Ils sont arrivés en avance, des passagers prêts à patienter tant qu'il le faut pour ne pas rater leur TGV entre Laval (La Mayenne) et Paris, car le nombre de liaisons quotidiennes entre les deux villes va être réduit, et passer de huit à sept. Pourquoi supprimer un train ? La raison, est-elle économique, alors que certains TGV arrivant en gare de Lava sont loin d'être remplis ?
Le trajet n'est tout simplement pas rentable pour l'entreprise, comme 60% des lignes à grande vitesse, celles sur lesquelles les taux de remplissage des trains n’excèdent pas 50%. Dans un rapport interne publié dans la presse, le trafic sur toutes ces lignes pourrait être réduit.
Contactée, la SNCF dément avoir arrêté toute suppression de lignes. Avec l'arrivée de nouvelles compagnies, la SNCF perd des parts de marché, et donc de l'argent, sur des lignes pourtant très rentables, comme celle entre Paris et Lyon, et qui servaient justement à financer celles déficitaires. Un manque à gagner qui inquiète la Fédération Nationale des Associations des Usagers des Transports.
TRIBUNE LIBRE -Le Collectif des associations de défense de l'environnement du Pays Basque et du sud des Landes reprend et corrige les arguments pro-LGV du président de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset.
Les opposants à la LGV ont fêté en 2023 leurs 30 ans de lutte. (Patxi BELTZAIZ)
Ndlr TGV en Albret : pour lire l'article entier : cliquez ici
Le Collectif Stop LGV 47, lors de sa formation à Agen, en mars 2023.© Crédit photo : Archives Élodie Viguier
Le collectif anti-LGV prépare une « sarabande » qui reliera Saint-Michel-de-Castelnau (33) à Feugarolles, les 13 et 14 avril prochain, et va écrire aux élus lot-et-garonnais pour qu’ils se positionnent sur le chantier
Les membres deStop LGV 47se sont retrouvés à Fargues-sur-Ourbise, ce dimanche 21 janvier, pour faire le point sur les prochaines actions. Un rendez-vous qui tombait à point nommé alors que, selon ce collectif de 14 associations, des travaux de préparation des réseaux électriques et d’eau ont débuté le 15 janvier à Saint-Médard-d’Eyrans (33). « Nous voulons profiter des européennes pour demander aux candidats comment ils se positionnent par rapport au projet de LGV », a indiqué un membre du collectif, joint par téléphone.
Les associations préparent aussi un courrier à destination des élus lot-et-garonnais, qui devrait partir « d’ici la semaine prochaine », afin qu’ils précisent leurs intentions. Par ailleurs, une « sarabande » va être organisée les 13 et 14 avril prochain. Cet événement, qui partira de Saint-Michel-de-Castelnau (33), passera par Pindères, Pompogne et Fargues-sur-Ourbise (samedi 13), puis Xaintrailles, Vianne et Feugarolles, son arrivée (dimanche 14).
« Ce sera un moment festif où chaque association aura son stand et informera les habitants », a précisé le collectif, qui rappelle que la question du financement de la LGV,via la taxe spéciale d’équipement notamment, reste entière.
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