TGV en Albret : ....mot de notre président: Charles d'Huyvetter
Bonjour à tous,
Le nouveau collectif "LGV Non Merci" organise 1 manifestation sur 3 jours à Lerm-et-Musset.Chacun fait se qu'il veut mais je pense qu'il vaut mieux privilégier le dimanche13 octobre où nous rencontrerons nos amis Basques du CADE.
Rejoignez-nous dès maintenant pour Freinage d'Urgence !Déploiement du camp contre la #LGV en cours ! Le camp se situera aux abords de Lerm-et-Musset, en Gironde.
Les coordonnées GPS : 44.3265, -0.1745
Une infoline est en cours d'installation également.
LA LGV NE PASSERA PAS !
Forte des apprentissages de 20 ans de lutte et de la convergence de nouvelles énergies, la résistance se renforce depuis plus d’un an au sein de la coordination LGV NON MERCI, tissant un réseau puissant de collectifs articulant une grande diversité de leviers d’actions.
Le 11-12-13 octobre 2024, au pays des eaux, en Gironde, unissons nos forces pour imposer un
FREINAGE D’URGENCE
à ce projet destructeur, lors d’un weekend haut en couleurs avec les Soulèvements de la Terre.
Plus que jamais, tous les moyens sont bons et toutes les forces sont les bienvenues pour empêcher définitivement cette aberration de voir le jour.
Le collectif NINA organise une ballade en forêt jusqu'à un lieu sur le Ciron pour y matérialiser le viaduc prévu à cet endroit.
RDV samedi au camp sur le stand à partir de 13h30
« On a voté ce matin le recours », confiait ainsi Xavier Planty, le Président de l’ODG Barsac et Sauternes à Côté Châteaux. « Un recours acté devant le Conseil d’Etat », par la Fédérartion des Grands Vins de Bordeaux et les ODG de Barsac-Sauternes et des Graves, contre le décret validant la déclaration d’utilité publique des lignes à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse et Bordeaux et Dax. Il y a aussi quelques viticulteurs qui vont attaquer en leur nom propre.
Lors d’une manifestation anti-LGV organisée à Cadaujac en avril.© Crédit photo : Archives Jean Maurice Chacun / SO
La manifestation, non déclarée, était prévue à Lerm-et-Musset, dans le Sud-Gironde, du 11 au 13 octobre. La préfecture craint des débordements
La préfecture de Gironde a pris ce jeudi 10 octobre un arrêté visant à interdirela manifestation anti-LGV prévue ce week-end, du 11 au 13 octobre, à Lerm-et-Musset, dans le Sud-Gironde. Celle-ci, organisée à l’appel de plusieurs associations environnementalistes dont LGV non merci et Les Soulèvements de la Terre, n’a pas été déclarée, indique la préfecture.
L’arrêté interdit « toute manifestation, attroupement ou rassemblement revendicatif sur les communes ou partie de communes de Bègles, Bordeaux, Cadaujac, Floirac, Saint-Médard-d’Eyrans et Villenave-d’Ornon », et ce à compter de ce vendredi 11 octobre, 8 heures, jusqu’au lundi 14 octobre, 8 heures. « En complément, le préfet a pris les mesures administratives suivantes : autorisation de survol par drone et captation d’images par la SNCF et la gendarmerie nationale, interdiction de transports de carburants et de tout liquide inflammable, interdiction de port, de transport et utilisation d’artifices de divertissement ou pétard, interdiction de port, de transport et détention sans motif légitime d’armes et d’armes par destination. »
Ndlr TGV-Albret : cliquez le titre sous la photo pour lire l'excellent article
Photo: Jean Michel Mazet
Ils y ont vécu pour la plupart pendant des mois. Appelés sur d'autres fronts, les opposants à la technopole Agen Garonne ont quitté la ZAD de Sainte-Colombe.
Cinq semaines après l'évacuation par les forces de l'ordre des maisons squattées par une quinzaine d'opposants à la technopole Agen Garonne, que sont les zadistes devenus ? «Ils n'y sont plus ? Vous me l'apprenez» dit un militant du collectif de défense des terres fertiles. Souvent présente auprès des jeunes qui composaient le mouvement, Suzanne Calmon préfère utiliser une image champêtre : «Vous savez, un zadiste est un oiseau migrateur.»
No man's land
Les oiseaux migrateurs précités ont quitté le premier nid qu'ils occupaient depuis décembre 2014, invités par Joseph Bonotto. Pas une voiture, peu ou pas de mouvements sur place hier, cinq semaines après l'expulsion par le bon demi-millier de gendarmes déployés par arrêté préfectoral le 31 mai dernier.
Pour une minorité d'entre eux, ils sont derrière les barreaux, purgeant une peine d'emprisonnement pour des délits antérieurs commis ailleurs. Une poignée est encore dans l'agglomération, libre, appliquant à la lettre l'adage qui stipule que tout bâtiment vide peut être occupé, au Passage-d'Agen par exemple.
Réseaux sociaux
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